Témoignage d'Yvan BUCHMANN

J'ai utilisé ce couteau durant un séjour de chasse et de vie dans le bois au Québec de deux mois, porté à la ceinture tous les jours, de 6 heures du matin à 21 heures.

Tenu par le pommeau comme le préconise son inventeur, son poids et son éqpuilibre permettent de trancher jusqu'à des tailles relativement importantes avec la même efficacité qu'une hachette. Il m'a été facile de fendre des bûchettes d'érable pour refaire des barreaux d'échelles.

cette longue séance de taille de résineux, la lame avait changé de couleur.
Après une semaine de gros travaux, je n'avais toujours pas besoin de le réaffûter.

Premier test de Préparation du gibier sur un cerf de Virginie. La lame du Wildsteer n'est pas pointue mais tellement tranchante que je peux aisément pratiquer une petite fente dans l'oreille de l'animal pour y fixer le coupon.

Le dépeçage, casser un os, désolidariser une articulation, ouvrir la symphyse pubienne seront des jeux d'enfant grâce à la lame solide et au large pommeau sur lequel on peut prendre appui ou taper.

J'avais au départ un peu peur pour le cuir du manche recouvert de sang et de gras mais il supporte parfaitement tous les lavages.
Je n'ai retravaillé le fil du tranchant qu'après trois semaines d'utilisation intensive, en passant quelques aller-retour avec un mini affûteur de vigneron.

J'avais l'habitude de dire que ce qui est moyen pour tout n'est bon pour rien. Avec ce couteau, je reviens sur cette idée ; le Wildsteer est exceptionnel.

Poids, résistance, équilibre, qualité de l'acier et de sa coupe, polyvalence, il est surprenant. Ni trop grand ni trop petit, ni trop léger ni trop lourd, il trouvera sa place pour la chasse, la randonnée, pour bricoler, ou à côté de votre assiette à l'heure du repas.